The Ukraine-Russia war: Was it foreseeable ?
La guerre Ukraine – Russie : Était il possible de la prévoir ?

Everyone saw it but no one was really watching
Tout le monde a vu mais personne n’a regardĂ©

The War in Ukraine is one of the deadliest and most devastating conflicts in Europe since the fall of the USSR. Although this war was triggered by Russia’s invasion of Ukraine in 2022, the root causes of this complex conflict go back long before this event.

La Guerre en Ukraine est l’un des conflits les plus meurtriers et les plus dĂ©vastateurs en Europe depuis la chute de l’Urss. Bien que cette guerre ait Ă©tĂ© dĂ©clenchĂ©e par l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022, les causes profondes de ce conflit complexe remontent bien avant cet Ă©vĂ©nement.

I’m going to look at the period from the fall of the USSR in 1991 to the outbreak of war in Ukraine, to see if it was possible to predict the confrontation between Russia and Ukraine?

Je vais aborder la pĂ©riode qui suit la chute de l’URSS en 1991 jusqu’au dĂ©clenchement de la guerre en Ukraine pour voir, s’il Ă©tait possible Ă  travers les Ă©vènements, de prĂ©dire l’affrontement entre la Russie et l’Ukraine ?

  • 1991 -> 1998

Marked by Russia’s economic crisis, this period was experienced by Russians as a humiliation difficult to accept. The poverty rate rose from 1% in 1991 to 40% in 1998. Economic liberalization was forced through, enriching the oligarchs who bought up former state enterprises at derisory prices. This led to the country’s ruin and Russia’s discredit on the international stage.

MarquĂ©e par la crise Ă©conomique en Russie, cette pĂ©riode fut vĂ©cue par les Russes comme une humiliation difficile Ă  accepter. En effet, le taux de pauvretĂ© passa de 1% en 1991 Ă  40% en 1998. La libĂ©ralisation de l’Ă©conomie fut effectuĂ©e de manière forcĂ©e, ce qui engendra l’enrichissement des oligarques qui rachetèrent les anciennes entreprises d’Etat Ă  des prix dĂ©risoires. Cette situation causa la ruine du pays et le discrĂ©dit de la Russie sur la scène internationale.

  • 1999

Vladimir Putin took the reins of Russia during the second Chechen war, affirming the return of Russian central power with the defeat of the Chechens.

Vladimir Poutine a pris les rênes de la Russie lors de la seconde guerre de Tchétchénie, affirmant ainsi le retour en force du pouvoir central russe avec la défaite des Tchétchènes.

  • 1999 -> 2004

From 1999 to 2004, Russia forged closer diplomatic ties with Western countries. Following the attacks of September 11, 2001, the United States, whose priority was the fight against terrorism in the Middle East, saw Russia as an ally because of its ability to suppress radical Islamic movements on its territory. During this period of relative stability for Russia, a discourse of “stabbing in the back” will rise among the Russian population. Russians couldn’t understand why their country was suffering poverty when it had never lost a war on its own soil. For the Russians, the fall of the USSR was primarily due to internal factors, and not attributable to the actions of the United States. This sense of frustration can easily be compared to that which animated Germany in the 1920s.

La Russie opère un rapprochement diplomatique avec les pays occidentaux. Suite aux attentats perpĂ©trĂ©s le 11 septembre 2001, les États-Unis, ayant pour prioritĂ© la lutte contre le terrorisme au Moyen-Orient, verront la Russie comme un alliĂ© en raison de sa capacitĂ© Ă  rĂ©primer les mouvements islamiques radicaux sur son territoire. Durant cette pĂ©riode de relative stabilitĂ© pour la Russie, un discours faisant Ă©tat d’un « coup de poignard dans le dos » s’Ă©lèvera au sein de la population russe. Les Russes ne comprennent pas pourquoi leur pays subit une situation de pauvretĂ© alors qu’il n’a jamais perdu de guerre sur son sol. Pour les russes, la chute de l’URSS est avant tout due Ă  des facteurs internes et non imputable aux actions des États-Unis. Ce sentiment de frustration peut aisĂ©ment ĂŞtre rapprochĂ© de celui qui a animĂ© l’Allemagne dans les annĂ©es 1920.

  • 2004

Two events of major importance take place. The first concerns the enlargement of NATO towards Eastern Europe, including six countries that had previously been part of the former Soviet Union. It is now clear that, thirteen years after the collapse of the Soviet Union, states that were once close to Russia are falling under the sway of the American enemy. The second major event of the year was the Orange Revolution in Ukraine. The pro-Russian government was overthrown following peaceful demonstrations in Kiev. This revolution, whose representative Viktor Louchtchenko suffered a poisoning attempt that disfigured him for life, helped to distance Ukraine considerably from Russian influence. A situation not seen since the fall of the USSR. At that time, Putin did not yet have the means to react, except by stirring up the country from within, through political and destabilization maneuvers.

Deux Ă©vĂ©nements d’une importance capitale se produisent. Le premier concerne l’Ă©largissement de l’OTAN vers l’est de l’Europe, incluant notamment six pays qui avaient prĂ©cĂ©demment fait partie de l’ex-URSS. Il est dès lors manifeste que, treize annĂ©es après l’effondrement de l’Union SoviĂ©tique, des États ayant jadis Ă©tĂ© proches de la Russie tombent sous l’emprise de l’ennemi amĂ©ricain. Le second Ă©vĂ©nement marquant de cette annĂ©e-lĂ  est la rĂ©volution Orange qui Ă©clate en Ukraine. Le gouvernement pro-russe est renversĂ© suite Ă  des manifestations pacifiques qui se dĂ©roulent Ă  Kiev. Cette rĂ©volution, dont le reprĂ©sentant Viktor Louchtchenko subit une tentative d’empoisonnement qui le dĂ©figure Ă  vie, contribue Ă  Ă©loigner considĂ©rablement l’Ukraine de l’influence russe. Une situation qui n’avait pas Ă©tĂ© observĂ©e depuis la chute de l’URSS. Ă€ cette Ă©poque, Poutine ne dispose pas encore des moyens nĂ©cessaires pour rĂ©agir, si ce n’est en agitant le pays depuis l’intĂ©rieur, par le biais de manĹ“uvres politiques et de dĂ©stabilisation.

  • April / Avril 2008 

In April 2008, Georgia and Ukraine applied to join NATO. This time, Putin decided not to back down.

La Géorgie et l’Ukraine font la demande pour rejoindre l’OTAN. Cette fois-ci Poutine a décidé de ne pas reculer.

  • August / AoĂ»t 2008

In August 2008, under false pretences, Russia invaded Georgia to install a pro-Russian regime at the head of the country. This war revealed the difficulties of the Russian army, which won the war not because of its quality but because of its numbers. The absence of military research in the 90s was cruelly felt. Major military reforms and a ten-year plan were launched to modernize the Russian army. The “stab in the back” discourse continues to develop.

Sous un prĂ©texte fallacieux, la Russie envahit la GĂ©orgie afin d’y installer un rĂ©gime pro-russe Ă  la tĂŞte du pays. Cette guerre a rĂ©vĂ©lĂ© les difficultĂ©s de l’armĂ©e russe, qui a remportĂ© la victoire non pas grâce Ă  sa qualitĂ© mais Ă  son nombre. L’absence de recherche dans le domaine militaire dans les annĂ©es 90 s’est fait cruellement ressentir. De grandes rĂ©formes militaires et un plan dĂ©cennal ont Ă©tĂ© dĂ©cidĂ©s afin de moderniser l’armĂ©e russe. Le discours de « coup de poignard dans le dos » continue de se dĂ©velopper.

Russia increasingly sees itself as a great power, and like all great powers, it wants to control its neighbors. It is unthinkable for Russia to have its great enemy, the United States, on its borders.

La Russie se considère de plus en plus comme une grande puissance et, Ă  l’instar de toute grande puissance, elle souhaite contrĂ´ler ses voisins. Il est inenvisageable pour la Russie d’avoir son grand ennemi, les États-Unis, sur ses frontières.

  • February / FĂ©vrier 2010

Viktor Lukashchenko, elected in the wake of the Orange Revolution, was widely discredited due to corruption, leading to his defeat in the 2010 elections. Viktor Yanukovych, considered to be pro-Russian, won the elections.

Viktor Louchtchenko, élu à la suite de la révolution Orange, a été largement discrédité en raison de la corruption, ce qui a conduit à sa défaite lors des élections de 2010. Viktor Ianoukovytch, considéré comme pro-russe, a remporté ces élections.

  • February / FĂ©vrier 2014

Following the protests and clashes in Maidan Square in Ukraine, Viktor Yanukovych fled to Russia. New elections have been scheduled and, for the second time in 8 years, a pro-European president Petro Poroshenko has been elected after the overthrow of the pro-Russian president. This time, Russia will not stand idly by.

À la suite des manifestations et aux affrontements de la place de Maïdan en Ukraine, Viktor Ianoukovytch fuit en Russie. De nouvelles élections ont été programmées et, pour la seconde fois en 8 ans, un président pro-européen Petro Porochenko a été élu après le renversement du président pro-russe. Cette fois ci, la Russie ne restera pas sans rien faire.

March / Mars 2014

Taking advantage of the prevailing chaos in Ukraine, Russian troops took up positions in Crimea and organized a referendum on annexing the region. At the same time, Russian-backed separatist militias emerged in eastern Ukraine, marking the start of the Donbass war, which claimed 13,000 lives before the Russians invaded Ukraine in 2022.

Profitant du chaos ambiant en Ukraine, des troupes russes ont pris position en CrimĂ©e et ont organisĂ© un rĂ©fĂ©rendum sur l’annexion de la rĂ©gion. En mĂŞme temps, des milices sĂ©paratistes soutenues par la Russie ont fait leur apparition dans l’est de l’Ukraine, marquant le dĂ©but de la guerre du Donbass, qui a fait 13 000 morts avant que les Russes n’envahissent l’Ukraine en 2022.


I wish to interrupt myself here to report on the situation in Ukraine at the end of 2014. Putin, is acting to sow discord within Ukraine, where part of the population is expressing its desire to withdraw from Russian influence. The United States, for its part, is doing its utmost to draw Ukraine into its NATO alliance. This situation is creating a divide between two powers, with the Americans on the one side, who dominate the world and seek to maintain their supremacy, and Russia on the other, which aspires to regain the influence it exerted in the 1980s. Sooner or later, tensions will inevitably arise in the buffer countries between NATO and Russia.

Je souhaite m’interrompre ici afin de faire Ă©tat de la situation en Ukraine fin 2014. Poutine, agit de manière Ă  semer la discorde au sein de l’Ukraine, oĂą une partie de la population exprime son dĂ©sir de se soustraire Ă  l’influence russe. Les États-Unis, pour leur part, font tout leur possible pour attirer l’Ukraine dans leur alliance de l’OTAN. Cette situation crĂ©e un clivage entre deux puissances, avec d’un cĂ´tĂ© les AmĂ©ricains qui dominent le monde sans partage et cherchent Ă  maintenir leur suprĂ©matie, et de l’autre la Russie qui aspire Ă  retrouver l’influence qu’elle exerçait dans les annĂ©es 1980. Il est inĂ©vitable qu’une tension Ă©mergera tĂ´t ou tard dans les pays tampons entre l’OTAN et la Russie.

Indeed, from the outbreak of war in the Donbass in 2014-2015, it was clear that this escalation would take place in this region and that France would be on NATO’s side. Thus, French companies should have pulled out of Russia and Ukraine, and more broadly the buffer countries between NATO and Russia, at that point. Nothing was done, and yet it was right in front of our eyes.

En effet, dès le déclenchement de la guerre dans le Donbass en 2014-2015, il était clair que cette escalade se ferait dans cette région et que la France serait aux cotés de l’Otan. Ainsi, les entreprises françaises auraient dû sortir de la Russie et de l’Ukraine, et plus largement des pays tampons entre l’OTAN et la Russie, à ce moment-là. Rien n’a été fait et pourtant, c’était sous nos yeux.

Credit Image: © Ukraine Presidency/Ukrainian Pre/Planet Pix via ZUMA Press Wire
  • September / Septembre 2015

Russia intervenes in Syria and helps Bashar Al-Saad’s regime. This is the first operation by the Russian army outside the USSR since 1978. The aim was to counter American influence in the region, reaffirming Russia’s presence in the Middle East and supporting its remaining allies, including Syria, which has always been a Russian ally. Other countries (such as Libya, Egypt and Iraq) have fallen under the domination of America and NATO. What’s more, Russia has succeeded in preventing the Turks, a member of NATO, from seizing part of northern Syria, which is historically Turkish (Aleppo was under Ottoman rule for 300 years). Russia’s latest interest in Syria is to support the migration crisis in Europe. If war persists in this region, migrants will continue to flock to this continent. This situation is causing divergence between Germany, which aspires to welcome as many of these people as possible to offer them jobs in its economy, and the countries of Eastern Europe, which refuse to welcome people from another civilization onto their territory.

La Russie intervient en Syrie et aide le rĂ©gime de Bachar Al-Saad. C’est la première opĂ©ration de l’armĂ©e russe Ă  l’extĂ©rieur de l’URSS depuis 1978. Ceci dans le but de contrer l’influence amĂ©ricaine dans la rĂ©gion, rĂ©affirmant ainsi sa prĂ©sence au Moyen-Orient et soutenant ses derniers alliĂ©s, dont la Syrie, qui a toujours Ă©tĂ© un alliĂ© de la Russie. Les autres pays (tels que la Libye, l’Egypte et l’Irak) sont tombĂ©s sous la domination de l’AmĂ©rique et de l’OTAN. De plus, la Russie a rĂ©ussi Ă  empĂŞcher les Turcs, membre de l’OTAN, de s’emparer d’une partie du nord de la Syrie, qui est historiquement turque (Alep a Ă©tĂ© sous domination ottomane pendant 300 ans). Le dernier intĂ©rĂŞt de la Russie en Syrie consiste Ă  appuyer la crise migratoire en Europe. Si la guerre perdure dans cette rĂ©gion, les migrants continueront d’affluer vers ce continent. Cette situation suscite des divergences entre l’Allemagne, qui aspire Ă  accueillir le plus grand nombre possible de ces personnes pour leur offrir des emplois dans son Ă©conomie, et les pays de l’Est qui refusent d’accueillir des populations d’une autre civilisation sur leur territoire.

It seems clear that Russia’s intentions are clear: it is seeking to re-establish the influences it had in the 1980s. This is the second warning for Western companies in Russia and the buffer countries of the East. It’s time to get out cheaply!

Il semble Ă©vident que les intentions de la Russie sont claires, elle cherche Ă  rĂ©tablir les influences qu’elle avait dans les annĂ©es 1980. Ceci est le second avertissement pour les entreprises occidentales en Russie et dans les pays tampons de l’Est. Il est temps de partir Ă  moindre frais !

  • July / Juillet 2021

Vladimir Putin published a long and detailed text explaining to his people that Ukraine was an integral part of Russia and could not be separated from it.

Vladimir Poutine a publiĂ© un texte long et dĂ©taillĂ© expliquant Ă  son peuple que l’Ukraine faisait partie intĂ©grante de la Russie et qu’elle ne pouvait pas s’en dĂ©tacher.

  • November / Novembre 2021

An attempted coup against Ukrainian President Zelensky was dismantled, and Petro Poroshenko, the former president defeated by Zelensky in 2019, declared his support for Russia in the event of armed conflict between Ukraine and Russia. In the same month, Belarusian President Lukashenko also announced that Belarus would side with Russia in the event of a Russian-Ukrainian confrontation, marking a change from 2014 when Belarus was neutral.

Une tentative de coup d’État contre le prĂ©sident ukrainien Zelensky a Ă©tĂ© dĂ©mantelĂ©e, et Petro Porochenko, l’ancien prĂ©sident battu par Zelensky en 2019, a dĂ©clarĂ© soutenir la Russie en cas de conflit armĂ© entre l’Ukraine et la Russie. Dans le mĂŞme mois, le prĂ©sident biĂ©lorusse, Loukachenko a Ă©galement annoncĂ© que la BiĂ©lorussie se rangerait du cĂ´tĂ© de la Russie en cas de confrontation russo-ukrainienne, ce qui marque un changement par rapport Ă  2014 oĂą la BiĂ©lorussie Ă©tait neutre.

  • December / DĂ©cembre 2021

The Russians insisted on their “red lines” and massed over 175,000 troops near the border, arguing that Ukraine’s integration into NATO was non-negotiable. However, NATO responded politely but firmly, asserting that no one could dictate red lines and that it was up to countries to decide whether or not to join NATO, not Russia.

Les Russes insistent sur leurs “lignes rouges” et ont massĂ© plus de 175 000 hommes près de la frontière, arguant que l’intĂ©gration de l’Ukraine dans l’OTAN n’Ă©tait pas nĂ©gociable. Cependant, l’OTAN a rĂ©pondu de manière polie mais ferme, en affirmant que personne ne pouvait dicter ses lignes rouges et que c’Ă©tait aux pays de dĂ©cider s’ils souhaitaient ou non rejoindre l’OTAN et non pas Ă  la Russie.

Also in December 2021, Lukashenko announced his recognition of Russia’s annexation of Crimea and reported Ukrainian border violations. He no longer protested against a possible annexation of his own country by Russia, as this seems to have become a reality.

Toujours en dĂ©cembre 2021, Loukachenko a annoncĂ© reconnaĂ®tre l’annexion de la CrimĂ©e par la Russie et a signalĂ© des violations de la frontière de la part des Ukrainiens. Il n’a plus protestĂ© contre une possible annexion de son propre pays par la Russie, car cela semble ĂŞtre devenu une rĂ©alitĂ©.

On February 17, 2022, an announcement was made about a Ukrainian bombardment of a school in the Donbass, prompting a security meeting in Russia. The die seemed to have been cast, and it was clear that Putin was going to launch an attack on Ukraine. February 24, 2022, Russia attacks Ukraine.

Le 17 fĂ©vrier 2022, une annonce a Ă©tĂ© faite concernant un bombardement ukrainien sur une Ă©cole dans le Donbass, ce qui a provoquĂ© une rĂ©union de sĂ©curitĂ© en Russie. Les dĂ©s semblaient jetĂ©s, et il Ă©tait clair que Poutine allait lancer une attaque contre l’Ukraine. Le 24 fĂ©vrier 2022, attaque de l’Ukraine par la Russie.

In March and April 2022, sanctions were imposed on Russia. As a result, French companies that had maintained operations in Russia and Ukraine now find themselves in possession of assets valued at zero euros.

En mars et avril 2022, des sanctions ont Ă©tĂ© imposĂ©es Ă  la Russie. En consĂ©quence, les entreprises françaises qui ont maintenu leurs activitĂ©s en Russie et en Ukraine se trouvent dĂ©sormais en possession d’actifs Ă©valuĂ©s Ă  zĂ©ro euro.

In conclusion, event forecasting is an essential practice for anticipating future events and taking the necessary steps to manage them effectively. However, it is important to note that event forecasting can never be perfectly accurate. For example, as early as 2014, a confrontation between Russia and Ukraine could be expected, but it was difficult to predict the date.

En conclusion, la prĂ©vision d’Ă©vènement est une pratique essentielle pour anticiper les Ă©vĂ©nements Ă  venir et prendre les mesures nĂ©cessaires pour les gĂ©rer efficacement. Cependant, il est important de noter que la prĂ©vision d’Ă©vènement ne peut jamais ĂŞtre parfaitement exacte. Ainsi, dès 2014, on pouvait s’attendre Ă  une confrontation entre la Russie et l’Ukraine mais, il Ă©tait difficile de prĂ©voir la date.

Indeed, such a transposition of the deep-rooted and insurmountable causes of the confrontation between Russia and Ukraine to other geographical areas can be envisaged. From this perspective, it is possible to anticipate that the next region to flare up could be China and India, bearing in mind that China is likely to suffer Western sanctions similar to those currently imposed on Russia. Western economic players interacting with these zones should therefore be encouraged to leave the country before hostilities irreversibly break out and their assets in these countries lose value.

Effectivement, une telle transposition des causes profondes et insurmontables de l’affrontement entre la Russie et l’Ukraine Ă  d’autres zones gĂ©ographiques peut ĂŞtre envisagĂ©e. Dans cette perspective, il est possible d’anticiper que la prochaine rĂ©gion Ă  s’embraser pourrait ĂŞtre la Chine et l’Inde, sachant que la Chine risque de subir des sanctions occidentales similaires Ă  celles imposĂ©es actuellement Ă  la Russie. Il convient donc d’inciter les acteurs Ă©conomiques occidentaux ayant des interactions avec ces zones Ă  sortir du pays avant le dĂ©clenchement irrĂ©versible des hostilitĂ©s et la perte de valeur de leurs actifs dans ces pays.

If your company has business relations with suppliers or customers in Asia, and if you are concerned about the prospect of a conflict between China and India, I invite you to contact me so that we can discuss this issue in detail. I’d be delighted to give you an in-depth presentation of my forecasts and convince you that it would be wise to leave China.

Si votre entreprise entretient des relations commerciales avec des fournisseurs ou des clients en Asie et si vous ĂŞtes prĂ©occupĂ© par la perspective d’un conflit entre la Chine et l’Inde, je vous invite Ă  me contacter afin que nous puissions discuter de cette question en dĂ©tail. Je me ferais un plaisir de vous prĂ©senter en profondeur mes prĂ©visions et de vous convaincre qu’il serait judicieux de quitter la Chine.

Au plaisir d’Ă©changer,
Maxime Bulin

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